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Les Lions lorgnent les Eagles, les Ravens en chute libre

1 week ago 13

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Le début de saison dans le circuit Goodell laisse présager une lutte intéressante entre les Lions et les Packers, aux trousses des Eagles, tandis que les Ravens sont en déclin à la suite d'une entame catastrophique. Tout le contraire des Colts, l'équipe Cendrillon en septembre.


Qui chauffera les champions du Super Bowl?

Les Eagles de Philadelphie (4-0) ont repris le collier avec la ferme intention de reproduire leurs succès de la saison dernière qui s’est conclue sous les confettis. Mission accomplie. Jusqu'ici, ils ont fait fi d’un rude calendrier, ce qui ne les a pas empêchés de conserver leur dossier intact.

Le résultat ne pourrait être plus satisfaisant avec des triomphes contre les Cowboys de Dallas (1-2-1), les Chiefs de Kansas City (2-2), les Rams de Los Angeles (3-1) et les Buccaneers de Tampa Bay (3-1). Les champions défendants ont relevé chacun de ces défis avec brio, montrant l’étendue de leur talent et la profondeur de leur effectif.

Des éléments restent toutefois à fignoler sur le plan offensif, principalement par rapport au jeu aérien, une voie où l’attaque connaît encore des ratés. Et c’est peu dire. À titre indicatif, le quart-arrière Jalen Hurts n’a pas complété la moindre passe en huit tentatives durant la seconde demie contre les Buccaneers.

Malgré tout, les Eagles accumulent les victoires et, surtout, trouvent le moyen de parvenir à leurs fins. Les hommes de Nick Sirianni forment toujours l’équipe à battre aux quatre coins de la Ligue nationale de football (NFL), en compagnie des Bills de Buffalo, seule autre formation invaincue.

Un footballeur regarde au loin.

Jalen Hurts

Photo : Getty Images / Emilee Chinn

Non loin derrière, les Lions de Détroit (3-1) se dressent en prétendants pour détrôner les Eagles. Détroit n’a pas faibli après avoir essuyé la perte de ses coordonnateurs offensif et défensif, Ben Johnson et Aaron Glenn, désormais entraîneurs-chefs sous d’autres cieux.

Chacune des unités se porte à merveille : l’attaque, telle qu'on la connaissait, s’apparente à un rouleau compresseur et la défense, fragilisée par maintes blessures en 2024, peut compter sur un groupe en santé. Les Ravens et Lamar Jackson l'ont appris à leurs dépens, la pression exercée étant insoutenable pour le quart à la grande mobilité.

L’édition actuelle, capable de feux d’artifice, possède les armes nécessaires pour croiser le fer avec quiconque. Un faux pas d’entrée à Green Bay laissait présager quelques doutes qui ont rapidement été effacés. Les Lions ont rugi, que les Eagles se le tiennent pour dit.

Des footballeurs célèbrent un touché.

Jahmyr Gibbs

Photo : Getty Images / Greg Fiume

Les Packers (2-1-1) ont fait tourner les têtes au coup d'envoi de la saison, peu après avoir semé la consternation en faisant l'acquisition du chasseur de quarts Micah Parsons. La poussière est depuis quelque peu retombée au Wisconsin.

Green Bay dispose des outils pour rivaliser et renverser tout un chacun, mais à la lumière des premiers duels, l'équipe ne semble pas, pour le moment, être arrivée à maturité pour dominer le circuit Goodell.


Les Ravens sauront-ils se relever?

Une poignée d’équipes aux ambitions élevées ont connu leur part de difficultés. Il va sans dire que les Ravens (1-3) font figure de déception, peinant à décrocher la victoire, alors que la suite s’annonce ardue à Baltimore.

Les Ravens sont passés par toute la gamme des émotions jusqu’à présent, en commençant par une débâcle d’anthologie en lever de rideau de leur campagne à Buffalo. S’en sont suivis de cuisants revers face aux Lions et aux Chiefs.

Trois de leurs premiers rivaux étaient ni plus ni moins que les finalistes de l’Américaine et les champions de la dernière saison. Des adversaires de taille, certes, mais des résultats qui exposent pour une énième fois les ennuis des protégés de John Harbaugh lorsque l’enjeu s’élève.

La formation des Ravens est également dégarnie après que nombre de partants soient tombés au combat, notamment au sein du front, rendant la défense fortement suspecte. Pas moins de 16 touchés et 131 points ont été accordés en seulement 4 matchs, deux sommets dans la NFL, un profond contraste avec les éditions passées à Baltimore.

Un footballeur est assis sur le banc et tient sa casquette.

Lamar Jackson

Photo : Getty Images / David Eulitt

Les prouesses de l’attaque, menée par Lamar Jackson, n’ont pu masquer les carences de la défense amputée de ses principaux joueurs dans les tranchées. Pire encore, le quart étoile est diminué par une blessure aux ischiojambiers qui pourrait le contraindre à rater des rencontres.

Sans le magicien Jackson aux commandes, les Ravens ne pourront redresser la barre ni retrouver un lustre qui s'est perdu au rythme des défaites crève-cœur. Sans oublier Derrick Henry, qui n’est plus le même depuis qu’il a échappé et perdu le ballon face aux Bills, une maladresse qui s’est répétée à deux autres occasions.

Si Jackson devait manquer à l’appel pendant quelque temps, les représentants du Maryland seraient en eaux troubles, alors que les Texans de Houston (1-3), eux-mêmes en difficulté, seront leurs prochains rivaux. Par la suite, une visite des Rams précédera une semaine de congé. Il s'agit pour les Ravens d'un tournant cette saison.

Les pépins physiques de Jackson, ainsi que sa disponibilité à jouer, seront déterminants pour la suite d’une campagne déjà en péril. Une situation pour le moins inattendue chez les Ravens, perçus comme de grands favoris pour soulever le trophée Vince-Lombardi.


Les surprenants Colts, illusion ou réalité?

Est-ce le premier chapitre d'un conte de fées qui s'est écrit en septembre à Indianapolis? Ou un simple mirage de début de saison, comme on le voit chaque année? Les Saints de La Nouvelle-Orléans l'ont vécu en 2024.

Les Colts et Daniel Jones, ou plutôt Indiana Jones, ont créé la surprise au cours du dernier mois grâce aux performances de leur nouveau quart, mieux entouré qu'il ne l'a jamais été à New York.

L'organisation a choisi de retirer le ballon des mains d'Anthony Richardson pour le confier au jeune vétéran de 28 ans. Une décision qui a porté ses fruits. Le changement d'air semble redynamiser Jones, qui se présente sous son meilleur jour avec sa nouvelle équipe.

Un footballeur repousse un adversaire.

Jonathan Taylor et L'Jarius Sneed

Photo : Getty Images / Dylan Buell

Maintenant, peut-il transposer ses succès hâtifs au reste du calendrier? La clé demeure les performances de Jonathan Taylor.

Il fait partie des rares demis offensifs pouvant être la pierre angulaire d'une attaque et transporter l'unité sur ses épaules. Son nom apparaît aux côtés des Saquon Barkley, Derrick Henry, Christian McCaffrey, Bijan Robinson, au sommet de la profession.

Les Colts progresseront jusqu'où leur porteur de ballon vedette les mènera.

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