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Le Thunder et les Pacers prêts à « aller à la guerre » dans le 7e et ultime match

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OKLAHOMA CITY — On répète souvent qu'un match ultime est la chose la plus excitante qui puisse arriver dans le monde du sport. C'est vrai pour les amateurs, mais ce l'est également pour les joueurs, ont assuré les principaux intéressés, samedi après-midi, à la veille de la rencontre sans lendemain entre le Thunder d'Oklahoma City et les Pacers de l'Indiana.

Au fil de ma carrière de compétiteur, j'ai réalisé que ces moments sont rares. Ce n'est pas facile de se rendre ici, alors j'ai hâte à ce 7e match. Ce sera spécial pour les deux équipes, pour la ligue et pour les amateurs de basketball partout dans le monde, a estimé Rick Carlisle, le vétéran entraîneur-chef des Pacers.

Ce sera un privilège pour tout le monde qui y participera. Les deux équipes ont mérité de vivre ça, alors on va en profiter, mais à partir du coup d'envoi, il y aura un plan de match à exécuter, a répondu son homologue du Thunder, Mark Daigneault.

Neuf ans se sont écoulés depuis la dernière fois qu'il y a eu un septième match en finale de la NBA. En 2016, les Cavaliers de Cleveland ont effacé un retard de 3 à 1 pour battre les Warriors de Golden State dans ce qui est largement considéré comme étant la meilleure série du 21e siècle.

Je me rappelle où j'étais avec mes amis. C'est l'un des meilleurs matchs que je n'ai jamais regardés et pour les gens de mon âge, c'est le summum, a raconté Tyrese Haliburton, le meneur des Pacers.

C'est incroyable! Hier, je suis retourné voir les faits saillants du match no 7 entre les Cavs et les Warriors juste pour me donner de bonnes sensations et de comprendre à quel point c'est une grande occasion qui nous attend demain, a renchéri son coéquipier Aaron Nesmith.

La plupart des joueurs qui fouleront le parquet dimanche soir étaient des adolescents ou de jeunes adultes à l'époque. Le tir en foulée d'Andre Iguodala bloqué par LeBron James et le panier décisif de Kyrie Irving sont des moments qui sont bien imprégnés dans leur mémoire. Ils sont tous impatients de créer de nouveaux moments épiques.

Lebron James des Cavaliers de Cleveland

Menés par LeBron James, les Cavaliers de Cleveland avaient complété une remontée historique en 2016.

Photo : Getty Images / Ezra Shaw

C'est un grand rêve et il ne reste qu'un match pour être champion à vie, mais on doit d'abord le jouer et faire notre possible pour gagner. Ça va être une guerre, a toutefois rappelé le Québécois Luguentz Dort.

Le point culminant d'un grand spectacle

Cette finale entre la meilleure défense et l’attaque la plus redoutable du circuit Silver a tout sauf déçu jusqu'à présent. Elle a débuté par une remontée spectaculaire et depuis, les deux poids lourds ont échangé leurs meilleurs coups sans retenue.

L'Indiana a assurément servi l'uppercut le plus retentissant du lot jusqu'à présent en humiliant son rival dans le 6e match, jeudi. Mais tout ça n'a plus d'importance, estime Bennedict Mathurin.

Ce qui s'est passé dans les six premiers matchs n'a rien à voir avec le dernier. Là, c'est 0-0, c'est un match, 48 minutes où il faut rester concentré et jouer le plus fort qu'on peut, a expliqué le garde de 23 ans.

Le Thunder a l'habitude se relever rapidement après avoir été envoyé au tapis. Shai Gilgeous-Alexander, la vedette de l'équipe, n'est donc pas préoccupé à l'approche du match le plus important de sa carrière.

Deux adversaires au basket

Les deux meneurs de cette finale de la NBA : Shai Gilgeous-Alexander du Thunder et Tyrese Haliburton des Pacers.

Photo : Getty Images / Maddie Meyer

Je pense que ce groupe fait un bon travail pour apprendre à travers l'adversité et si on veut réaliser notre rêve, il faudra encore une fois le prouver, a évalué l'Ontarien.

OKC aura d'ailleurs l'avantage d'avoir déjà joué un match ultime ce printemps, dans leur série de 2e tour contre les Nuggets de Denver.

La sensation qu'on a avant le match, comment on est nerveux, on est déjà habitué à ça. Ça reste une équipe différente, alors on ne sait jamais ce qui peut se passer, a souligné Luguentz Dort.

Dans le camp des Pacers, le message est de garder la même recette qui a fait leur succès depuis le début de la saison : un style de jeu rapide et chaotique, mais très efficace.

Grâce à la profondeur de leur effectif, ils sont d'ailleurs devenus la première équipe de l'histoire de la NBA avec au moins huit joueurs qui ont inscrit plus de 200 points lors des mêmes éliminatoires.

Ç'est bien, ça représente qui on est en tant qu'équipe, mais il faut continuer à accomplir plus de records, a insisté Mathurin, le 6e marqueur de l'Indiana dans ces séries.

Dimanche soir, l'une de ses deux franchises remportera le trophée Larry O'Brien pour la toute première fois. Peu importe le résultat, on sait déjà que deux Canadiens recevront une bague de championnat — Gilgeous-Alexander et Dort avec le Thunder ou Mathurin et Andrew Nembhard avec les Pacers.

Le passage du trophée à Montréal cet été est donc inévitable. Le dénouement de ce grand spectacle ne changera pas non plus la relation entre les deux basketteurs de la Belle Province, des amis de longue date.

Lu est encore mon frère. Il ne le sera pas pendant ces prochaines 48 minutes, mais dès que ce sera fini, je serai heureux de lui faire un gros câlin. Peu importe le résultat, on a marqué l'histoire et c'est un grand moment pour notre communauté, a conclu Bennedict Mathurin.

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