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Orgo-Life the new way to the future Advertising by AdpathwaySacré champion NBA avec le Thunder d'Oklahoma City, Shai Gilgeous-Alexander rejoint à 25 ans un cercle fermé de seuls quelques joueurs qui ont été meilleur marqueur de la saison, et désigné joueur par excellence de la saison et des Finales.
La saison éclatante du joueur né à Toronto et ayant grandi à Hamilton fait naître des espoirs pour l’avenir du basket canadien qui ne cesse de s’améliorer depuis quelques décennies.
Ca va inspirer la future génération pour sûr et c’est ce que l’on veut faire, assure son père Vaughn Alexander.
Le directeur général de l’équipe masculine du Canada, Rowan Barrett et le journaliste sportif Mike Laviolle partagent aussi cette impression.
Tous deux estiment que la génération actuelle de joueurs a été inspirée par Vince Carter aux Raptors au début des années 2000 ou encore Steve Nash un joueur par excellence en 2006 et 2007.

Shai Gilgeous Alexander est surtout réputé pour sa technique, son adresse et sa défense, qu'il a constamment améliorées. Ici face à Andrew Nembhard (à droite) un autre canadien.
Photo : Associated Press / Abbie Parr
Le seul et unique titre de champion des Raptors en 2019, et désormais les exploits de SGA en 2025, sont des moments tout aussi marquant, voire davantage, pour le basket au Canada.
Une identification facile
Des gens vont se dire "Pourquoi pas moi?", prédit Rowan Barrett, qui suit SGA, son surnom, depuis l’adolescence. Ancien joueur international pour le Canada, Rowan Barrett est aussi le père du joueur des Raptors R.J Barrett, coéquipier de SGA en sélection.
Ce n’est pas un phénomène physique, pointe-t-il, un peu comme Steve Nash avant lui qui se distinguait surtout par sa vision du jeu. Ce qui permet facilement de s’identifier.
“Ne soyez pas surpris de voir des jeunes avec des bandeaux, des tresses, à s’intéresser plus à la mode comme lui…
Il estime que Shai Gilgeous Alexander représente le travail dur, la famille, les bons choix.

Rowan Barrett estime que Shai Gilgeous Alexander incarne aussi des valeurs positives par son attitude, sur et en dehors du terrain.
Photo : Getty Images / Justin Ford
Mike Laviolle pense aussi que la saison de SGA inspirera d’autres Canadiens. Ca va avoir une grande influence dans les années à venir, forcément, il y a des jeunes qui vont vouloir suivre son exemple.
D'autres jeunes talents autour de lui
Rowan Barrett souligne qu’en plus de SGA, trois autres joueurs canadiens, Benedict Mathurin, Lugentz Dort et Andrew Nembhard ont eu un rôle majeur dans ces finales chacun à leur manière.
Et puis, des géants arrivent, ajoute Mike Laviolle, notamment de jeunes Québécois encore en université.
De quoi espérer une brillante équipe d’ici trois ans, lors des Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles, après un relatif échec aux Jeux de Paris, avec une élimination en quarts de finale contre la France.
Avec les informations de Gregory Wilson, et de Dale Manucdoc de CBC