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La révolution 2026 de la F1 approche et continue d’évoluer

3 weeks ago 8

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La prochaine fois que les formules 1 passeront à Montréal, elles auront une nouvelle allure. Et elles devraient, théoriquement, donner un meilleur spectacle.

L’an prochain, le règlement technique imposera aux équipes des voitures plus vertes, plus courtes, plus étroites et plus légères, dans l’espoir de donner plus de dépassements en piste.

Ce changement de paradigme force les équipes à travailler en double. D’une part, la course au développement pour la saison en cours n’arrête pas, et de l’autre, une meilleure compréhension du nouveau cahier de charges peut permettre à une petite équipe de causer la surprise.

Nombreuses sont les écuries qui espèrent refaire, l’an prochain, le coup de l’équipe Brawn en 2009.

L’écurie Williams, par exemple, mise gros sur 2026. Nous ne nous sommes pas cachés, a expliqué le directeur d’équipe James Vowles. Nous avons retiré notre voiture de la soufflerie le 2 janvier [afin de nous concentrer sur 2026]. L’an prochain c’est un canevas vierge, il n’y a rien de cette année que vous pourrez réutiliser. Pour nous, c’est une belle occasion de repartir à zéro.

Le travail aérodynamique est central au développement, surtout à ce stade, comme l’explique le directeur d’équipe de Ferrari, Frédéric Vasseur. Chaque jour que nous passons en soufflerie sur l’an prochain, on avance dix fois plus que quand on travaille sur le projet de cette année. Il faut faire des choix difficiles.

Ces choix sont d’autant plus difficiles pour les équipes à plus petit budget, comme Williams et Haas.

Un problème supplémentaire : le cahier de charges n’est pas encore finalisé. Le règlement n’est pas encore tout à fait stable. Parfois nous allons travailler sur un certain aspect, puis la directive change, il faut repartir à zéro. C’est la même chose pour toutes les équipes, mais c’est un défi.

Les grandes lignes du règlement 2026

  • Réduction du poids des voitures de 30 kilos (de 800 kg à 770 kg);

  • Répartition égale de la puissance entre les moteurs thermique et électrique;

  • Carburant carboneutre;

  • Deux aides au dépassement : un nouveau système qui remplace le DRS avec un changement d’angle des ailerons avant et arrière; un surplus de puissance électrique lorsqu’un pilote est à moins d’une seconde de la voiture devant.

Retour vers le futur?

L’évolution des voitures ces 20 dernières années a été très marquée. Laissons Nico Hülkenberg l’expliquer. Nous avons tellement d’appui aérodynamique aujourd’hui. Les voitures nous mettent vraiment en confiance. Regardez les courses aujourd’hui, nous n’avons plus beaucoup d’accidents, ou quand il y en a un, c’en est un très gros. Quand vous perdez le contrôle aujourd’hui, c’est fatidique. Dans les années 2010, c’était différent.

Kimi Antonelli, qui est né en 2006, était très curieux d’en savoir plus sur cette époque lointaine.

Je regarde beaucoup de vidéos des caméras embarquées, a reconnu la pépite italienne, au grand étonnement de Hülkenberg. À l’époque, il y avait moins d’appui aérodynamique, les voitures avaient l’air plus agiles, plus nerveuses. J’ai visité le musée Mercedes et rien que voir la différence de dimensions entre les voitures d’aujourd’hui et celles des années 2010, c’est immense. J’aimerais vraiment en essayer une.

Si les équipes sont déjà à l’œuvre pour 2026, les pilotes, eux, sont encore dans le noir, du moins selon l’expérience de Hülkenberg. C’est encore très théorique pour moi. On sait tous que ça va changer et que ce sera très différent. Je pense qu’on devra tous un peu réapprendre un tas de choses. Les premiers mois de la saison seront éprouvants.

Rendez-vous au mois de mai 2026.

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