PROTECT YOUR DNA WITH QUANTUM TECHNOLOGY
Orgo-Life the new way to the future Advertising by AdpathwayLes Blue Jays ont fait ce que peu de personnes auraient imaginé il y a quelques mois à peine : ils ont atteint la Série mondiale et sont passés à deux retraits de l'emporter contre les Dodgers dans le match ultime.
Malgré la défaite, ils ont fait vibrer l’ensemble du pays, de Toronto jusqu’au Nouveau-Brunswick, et de Vancouver au Nunavut.
Un spectacle incroyable, des émotions fortes, de l’espoir, affirme Marc Roy, un partisan originaire d’Ottawa, qui a suivi la saison, en plus de faire la route vers la Ville Reine pour assister à l'avant-dernier match, vendredi.
Il se dit triste, oui, déçu également, mais très heureux d'avoir eu une saison de baseball qui s'est rendue jusqu'au mois de novembre.
Bien sûr, on veut voir nos équipes gagner, mais le parcours, le match, la stratégie, la participation est importante, elle est réconfortante.
Ils ont fait une belle bataille face à une équipe des Dodgers qui est très, très forte, affirme France Maillet, un partisan des Blue Jays depuis plus de 30 ans, originaire du Nouveau-Brunswick.
Un parcours remarquable et l’avenir de l’équipe
Ce que les Blue Jays nous ont offert cette saison, c’est de démontrer que des jeunes qui ont grandi dans leur organisation ont développé leur talent, affirme Marc Roy. Et puis ils sont venus contribuer à des moments clés.
France Maillet partage quant à lui son regard sur la force de l’équipe qu’il voit évoluer. On pourrait facilement, à Toronto, échanger de jeunes talents pour aller chercher des joueurs de hauts profils, mais on choisit de bâtir à l'intérieur de notre organisation.
Pour lui, ajoute-t-il, c'est toujours la meilleure manière de faire parce qu'on a de jeunes talents, on les développe à la manière et la philosophie de l'équipe. À cause de ça, on en a pour plusieurs années encore.

Bo Bichette des Blue Jays de Toronto frappe un circuit de trois points contre Shohei Ohtani des Dodgers de Los Angeles lors de la troisième manche du septième match de la Série mondiale.
Photo : La Presse canadienne / Frank Gunn
La victoire n'était pas là, mais quand même, c'était un beau roman.
De voir Bo Bichette et Vladimir Guerrero fils, qui jouent ensemble depuis qu'ils ont 16 ans combiner leurs efforts dans une Série mondiale, c'est l'histoire du sport, de l'équipe, du développement, vraiment, mentionne Marc Roy.
D'après une entrevue diffusée à l'émission Y a pas deux matins pareils


1 day ago
5
















English (US) ·
French (CA) ·